L’actrice Naeema Butt, connue pour son rôle marquant dans le drame Kabhi Main Kabhi Tum, a récemment secoué l’industrie du divertissement pakistanaise en dénonçant publiquement le comportement problématique de certains de ses collègues sur le plateau. Dans une interview accordée à un média local, elle a évoqué une “toxicité déguisée” qui aurait profondément affecté son expérience professionnelle.

Selon ses déclarations, plusieurs co-stars masculins auraient adopté une attitude condescendante, allant jusqu’à remettre en question ses compétences d’actrice et tentant de réduire son implication dans certaines scènes. Elle a souligné qu’un climat de compétition malsaine s’était installé, où les egos prenaient souvent le pas sur la collaboration artistique.

Mais ce n’est pas tout : Naeema a également mentionné des comportements passifs-agressifs de la part d’autres actrices, comme la propagation de rumeurs ou la manipulation des décisions du réalisateur, créant ainsi une ambiance délétère sur le tournage.

Longtemps restée silencieuse par souci de professionnalisme, Naeema Butt a estimé qu’il était temps de s’exprimer pour encourager des changements positifs. Elle a ainsi appelé les chaînes de télévision et les maisons de production à instaurer des environnements de travail plus sains, où la santé mentale des acteurs serait prise au sérieux.

Sa prise de parole a provoqué une vague de réactions sur les réseaux sociaux. Tandis que de nombreux fans et personnalités saluaient son courage et sa transparence, certains co-stars ont rejeté ses propos, les qualifiant de “malentendus amplifiés”.

Cette affaire relance une discussion nécessaire sur le respect, l’équité et le bien-être psychologique dans l’industrie télévisée pakistanaise. Le témoignage de Naeema Butt pourrait ainsi ouvrir la voie à une réforme des dynamiques professionnelles derrière la caméra.

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