Paris, le 22 janvier 2025 – Pour sa dernière collection, le créateur Walter a choisi de s’inspirer d’un tout nouvel angle : celui de la rencontre entre la mode terrestre et l’influence extra-terrestre. Au lieu de se laisser guider par des émotions extrêmes, Walter a cette fois opté pour une approche plus contemplative afin de donner vie à une collection résolument nouvelle.

« En regardant le monde avec de grands yeux comme j’aime le faire, j’en suis venu à la réalisation que même les meilleures intentions et les actions les plus positives peuvent avoir des conséquences restrictives », explique le créateur. « Le boom du vintage et des vêtements d’archives, bien que fantastique pour une mode plus durable, laisse peu de place à de nouvelles techniques, applications ou coupes époustouflantes sur les podiums. »

WALTER VAN BEIRENDONCK

C’est dans cet état d’esprit réflexif que Walter a rêvé de courir dans des champs de tournesols avec ses amis extraterrestres. « Ils sont devenus un ensemble supplémentaire d’yeux, déterrant de nouvelles possibilités », poursuit-il. Le créateur s’est ainsi concentré sur une coupe précise et des matières de haute qualité, en puisant dans des savoir-faire traditionnels séculaires pour imaginer de nouvelles longueurs et formes excitantes.

« Pas besoin de coiffure ou de maquillage, il suffit d’enfiler un chapeau de Stephen Jones et d’attacher ces doigts extra-terrestres en silicone », ajoute Walter. Sa collection mélange ainsi de superbes tissus provenant de filatures anglaises et écossaises, des pièces imprimées en 3D et des images générées par l’IA. Un savant mélange d’artisanat ancestral hollandais et de silhouettes cabossées, le tout ponctué de canapés extraterrestres prenant soin de leur propriétaire.

WALTER VAN BEIRENDONCK termine avec cette conclusion ; « Transformer ces rêves de mirages mentaux en pièces à part entière est un voyage coûteux, mais je considère que c’est mon devoir de repousser sans cesse les limites du possible dans la mode » et d’ajouter ; « Je veux que les générations futures sachent qu’aucune barrière ne peut arrêter la création, seule la peur le peut. »

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